Atelier de film d’animation réalisé à Gaza, mis en son lors d’un atelier de slam et musique à Bruxelles en 2017.
Slam et musique en Live, enregistrés lors de l’événement « De Gaza à Bruxelles #2 », Maison de la création-Centre culturel Bruxelles Nord – 10 novembre 2017.
Entre installation vidéo et cinéma – faire un film en tant qu’artiste
Une rencontre organisée par l’AAAPA (Association des Ateliers d’Accueil, d’École et de Production Audiovisuelle de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
Le 25 novembre à 18h Palais des Beaux Arts – BOZAR (Salle 23)
Nombreux·ses sont les artistes, toutes disciplines confondues, qui font un film. Pour y arriver, iels parcourent souvent tout un processus à partir d’un terrain de recherche, via différentes déclinaisons artistiques (que ce soit de la performance, de la photo, de la vidéo…), puis d’une installation cela évolue vers un film ‘cinéma’ – avec un désir d’un public attentif en salle. Le parcours de financement de ces projets est tout autre que celui des documentaires plus ‘classiques’. À partir de 3 courts-métrages, une discussion entre les artistes, le modérateur et le public éclaira plusieurs aspects de la question du « film d’artiste ».
Modération: Amir Borenstein (réalisateur, vidéaste, coach au sein de SIC).
En présence des artistes.
Films projetés :
TALES OF THE SOURCE de Léonard Pongo, photographe
(39 minutes, 2023, production: Atelier Graphoui, Auguste Orts, Twenty Nine Studio Productions)
LE SKI, LA VRAIE NATURE, LE VIDE de Clara Thomine, vidéaste et performeuse
(15 minutes, 2021, production: Atelier Jeunes Cinéastes)
WASHING MACHINE de Florence Cats, artiste sonore, et Joseph Hogan, photographe
(18 minutes, 2023, production: Atelier de production du GSARA)
A partir du 3 février 2025, l’Atelier Graphoui propose tous les mercredis entre 14 et 17h une permanence d’accueil pour toute personne ayant un projet en lien avec l’image animée ou un travail de recherche autour du traitement de l’image. Une question que nous remettons sans cesse sur la table : pourquoi l’animation et comment faire pour que l’image serve au mieux un propos ? Pour approfondir ces questions, l’Atelier vous propose de venir partager votre projet avec d’autres réalisateur·rice·s, échanger, discuter pour nourrir votre travail, des rencontres individuelles pour approfondir la structure narrative de votre projet, des labos collectifs d’expérimentations visuelles autour de thématiques précises, des sessions techniques pour devenir plus autonomes sur vos projets.
Vous pouvez vous inscrire à cette adresse: caro@graphoui.org
Minimum 2 semaines à l’avance, en fonction des disponibilités et de la demande.
Merci d’y indiquer le pourquoi de votre venue.
NIAYE THIOKERS, « la colline aux perdrix », un des premiers quartiers populaires en plein cœur de Dakar. Quartier culturel, riche en histoire. Spéculation immobilière : urbanité rurale, ruralité urbaine, en voie de disparition. En s’arrêtant au détour de ses ruelles, nous sommes partis à la recherche de l’âme de la perdrix, la résonance de ses sons, de ses mémoires enfouies. L’écho de son cri.
Une création réalisée par Cyril Mossé avec la participation de Pithiou, Charlotte, Aliou et Fabrice, dans le cadre du projet bilatéral Labo Dekk Dem – Lieu commun entre l’Atelier Graphoui (Bruxelles) et le studio Kakatar (Dakar).
